SternheimerJoël

 

 

Physicien, chercheur indépendant

A la fin des années 60, après des études en France et aux Etats-Unis (où il était l'élève de Oppenheimer) , ce docteur en physique théorique décide de quitter la science ‘’officielle’’ et de mener ses recherches en indépendant. En 1967, devenant " Evariste " auteur-interprète, cet épisode musical réussi lui permit de poursuivre ses recherches de façon indépendante…pour arriver à trouver finalement la musique au fond des atomes.

Défenseur passionné d’une nouvelle éthique de la science qui respecte l’objet d’étude au lieu de le détruire, allant ainsi à l'encontre des recherches actuelles dans les domaines de la génétique ou de la physique et abordant le monde d'une façon à la fois plus synthétique et plus esthétique, le savant, qui est aussi un artiste, publie des travaux théoriques contestant les modèles admis des particules élémentaires.

A partir des années 80, il développe, à partir de sa découverte des '"ondes d'échelle’’ une technologie révolutionnaire qui, en transposant

dans les registres sonores ou lumineux certaines vibrations moléculaires, permet d’influencer de manière non-invasive, en la stimulant ou l'inhibant la synthèse d'une protéine au sein d'un organisme.

En juin 1992, Joël Sternheimer, professeur à l'Université européenne de la recherche, a déposé le brevet du " Procédé de régulation épigénétique de la synthèse protéique" .

Jean-Marie Pelt, président de l'Institut Européen d'Ecologie, dit : " Par ces recherches originales à la charnière de la biologie moléculaire et de la physique quantique, Joël Sternheimer, nous donne peut-être la clef ou l'une des clefs, des effets de la musique sur les plantes"?

En travaillant sur le problème de la distribution des masses des particules, J. Sternheimer découvrit qu'elles étaient réparties suivant une gamme musicale, la gamme tempérée essentiellement, ce qui indique que dans les fréquences associées à ces particules il existe des harmoniques. Se plongeant dans un long travail théorique en physique quantique, Joël Sternheimer prédit et mit indirectement en évidence l'existence de ce qu'il appelle des ondes d'échelle, qui seraient émises par des particules et notamment, dans les cellules vivantes, par les acides aminés, à des fréquences inaudibles. La présence de ces ondes,

dont il calcule les fréquences, expliquerait certaines interactions et comportements des molécules entre elles.

Suivant les théories et les calculs de Joël Sternheimer, considérons que les vingt acides aminés, véritables piliers de l'organisation métabolique et dont de très nombreuses séquences sont connues et disponibles sur différentes banques de données comme celle de la National Biomedical Research Foundation aux Etats-Unis, émettent chacun une onde dont on peut calculer la fréquence. Ces ondes sont émises au moment où ces acides aminés, transportés par les ARN de transfert, s'assemblent pour former des protéines. Les signaux seraient des ondes de nature quantique appelées "ondes d'échelle ", c'est-à-dire qu'elles relient entre elles des échelles différentes - ici l'échelle de chaque acide aminé à l'échelle de la protéine en formation. On peut rendre ces fréquences audibles en les transposant, par exemple, en notes de musique. Nous obtenons donc pour une protéine, qui est une suite d'acides aminés, une succession de notes. En fonction de la complexité de la composition des protéines, qui peuvent regrouper une dizaine d'acides aminés ou des centaines, nous obtenons une véritable mélodie, une partition variant donc d'une dizaine à plusieurs centaines de notes.

Voir par exemple " O Sole Mio " ! sur le site Internet.

Ainsi, faire régulièrement écouter (manière éthique, respectueuse de l'intégrité de l'objet d'étude) à un plant de tomates la musique correspondant à une protéine jouant un rôle dans le mécanisme de sa floraison, stimule la production de cette protéine dans la plante, qui donnera plus de fleurs qu'àl'accoutumée!

Il suffirait donc de "décoder " les ondes d'échelle émises par les acides aminés d'une protéine et à les transposer en notes pour agir sur un organisme en augmentant la production de la protéine.

Se faisant l'écho des travaux de Joël Sternheimer, Jean-Marie Pelt explique le processus:

"Lorsque les plantes "écoutent" la mélodie appropriée, les ondes acoustiques sont transformées "microphoniquement" en ondes électromagnétiques elles-mêmes sources "d'ondes d'échelle", et elles se mettent à produire la protéine spécifique à cette mélodie".

Mais Joël Sternheimer va plus loin. Si l'on connaît la succession de notes correspondant à une protéine, on peut la stimuler; mais on peut aussi l'inhiber, c'est-à-dire freiner sa fabrication. Il suffit pour cela d'avoir la mélodie "symétriquement opposée".

Très schématiquement, si la mélodie qui stimule est dans les "graves ", celle qui inhibera sera dans les "aiguës ". Chaque acide aminé possédant son équivalent en note stimulante et en note inhibitrice, on disposera de deux décodages, deux mélodies pour chaque protéine.

 

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